Pour répondre aux enjeux liés aux pollens, dont un pic a été constaté cette semaine, Barbara Pompili, Olivier Veran et moi-même avons dévoilé en mai dernier plusieurs mesures du Plan National Santé Environnement 4.
Ainsi, a été annoncé :
• une consolidation du réseau de surveillance des pollens dans le cadre du prochain Plan national de surveillance de la qualité de l’air ambiant ;
• une meilleure prévention et surveillance des impacts causés par les espèces exotiques envahissantes ou proliférantes, notamment l’ambroisie du fait de son haut potentiel allergisant ;
• une meilleure formation et sensibilisation des publics notamment au cours du Service National Universel ;
• la mobilisation du Service Sanitaire des Étudiants en Santé pour mener des actions d’éducation auprès des populations et des étudiants ;
• un renforcement de l’accès aux données environnementales du quotidien et de l’accès à des conseils de prévention associés ;
• un renforcement de l’information liée à des évènements ponctuels relatifs à l’état de leur environnement (pic de pollution, conditions climatiques particulières, période d’allergènes).
1. Quelle est la position et actions du CNA concernant ces pollens qui constituent un enjeu important pour conserver une qualité de l’air optimale ?
2. Pourriez-vous également nous expliquer dans quelle mesure le CNA participe à la mise en œuvre du Plan National Santé Environnement 4 ? Avez-vous d’ores et déjà des initiatives en matière de formation, de surveillance et de mise en commun des données en lien avec les annonces du PNSE4?
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